[color:1d19=blue:1d19]Trois groupes de militaires, de gendarmes et de policiers s'ennuyaient. Ils décidèrent alors de faire un concours de chasse au plus gros lapin.
Les militaires partirent et ramenèrent un beau gros lapin d'un moins 3 kg.
Les gendarmes à leur tour ramenèrent aussi un lapin mais hélas d'à peine 2 kg.
Au tour des policiers. Une heure passée, deux heures passées... trois heures, quatre heures,....
Les militaires et les gendarmes commencent à s'inquiéter et partent à leur recherche. Ils trouvent les policiers autour d'un cochon qu'ils sont en train de passer à tabac, en le bastonnant sans merci et en répétant à tour de rôle:
"Avoue que t'es un lapin".
" Chef, chef ! (c'est le même brigadier) Il y a eu un vol cette nuit au supermarché ! On a volé 2000 cartouches de cigarettes et 1500 laitues !
- Bien, et vous avez des soupçons ?
- Ben, on recherche un lapin qui tousse !
Un candidat policier passe son examen en vue de recevoir :
1. son képi
2. son ceinturon
3. son revolver
L'examinateur lui pose 3 questions.
1. Quel personnage a perdu la bataille à Waterloo ?
- Pas de réponse.
Je suis certain que vous savez la réponse, son nom commence par la lettre N
- Pas de réponse.
Ensuite, il y a la lettre A.
- Na, Na ..... Navaro ?
Mais non NA ..NA... puis il y a une P
- NAP, NAP ..... Napoléon ?
Oui, c'est bien cela. Vous avez droit à votre képi.
2. Quel était le nom du grand dictateur allemand en 1940 ?
- Pas de réponse.
Allons, réfléchissez, son nom commençait par HI
- E.T. ?
Non, il avait une moustache comme ça (et il met 2 doigts sous ses narines) ?
- Hitler ?
Bravo, vous avez droit à votre ceinturon.
3. Qui a tué Jésus-Christ ?
- Ça, je n'en ai aucune idée.
Écoutez, lui dit l'examinateur, rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes fatigué, moi aussi, revenez lundi et de préférence avec la réponse.
Le candidat rentre chez lui, tout fier, avec son képi tout neuf et son beau ceinturon et sa femme lui demande comment s'est passé l'examen ?
Très bien, dit-il, j'ai répondu à 2 bêtes questions, les doigts dans le nez (tu me connais) et on m'a déjà donné ma première enquête.
Extraits de rapports de police qui ont été publiés:
. L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.
. Le motif du vol était le meurtre.
. Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.
. Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.
. Bien que nous étions 5 à encercler l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.
. Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le devant.
. Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher.
. Le mur avançait à grand pas vers le véhicule.
. La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
. La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes.
. Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.
. Le pendu est mort noyé.
. Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
. Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d'appeler la police.
. Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.
. Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.
. Si nos policiers n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.
. L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
. Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.
. Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher,faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
. C'est la pluie qui empêcha le policier de s'apercevoir qu'il neigeait.
. L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était en fait qu'un tissu de mensonges.
. Pendant tout l'interrogatoire, l'homme n'a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.
. Maîtrisé par nos soins, l'homme s'est enfui à toutes jambes, malgré sa jambe artificielle qui s'était décrochée.
. Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.
. L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.
. La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.
. Le coup porté à bout portant lui a enfoncé la moitié des dents dans les oreilles.
. Le défunt a formellement reconnu son agresseur.
. La mer était sa terre natale.
. Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.
. L'homme avait suffisamment gardé la tête froide pour ranger soigneusement les morceaux de corps au congélateur.
. Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.
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http://michbuze.club.fr/lavache/perles_george_bush.htm[/url]